Psycho

s'aérer la tête, sortir

le bord de mer. aujourd'hui

tourbillons, dernière fois. par soi-même

un parano regarde l'angoisse

ressenti(e). guérison, chasser

les idées noires, couper du bois.

regalbant, vraie partie

de poker.

l'humanité, comme toujours.

s'ouvrir et partager

la féerie des eaux. commande

le papillon au milieu des sables.

dénégations engloutissant les rages.

nuance carminée, photos, dessins

et affiches. néoplastie de la bombe

atomique.

 

le monde. systématiquement

en capsules. médecines douces. nos peurs,

nos forces. souffrir pour être

la pierre. effrayant portrait

trottinant sur les traces de l'éternel.

redresser les croix, une nuit, au début. décors

d'illusion engoncé dans le fauteuil. nuage

de mousse étalé(e) dans la fatigue.

euphorie

jusqu'aux larmes.

 

l'impératrice chante

la sérénade, toujours

plus fort, pour affronter l'inconnu.

le pendu et la mort, trop

immatures pour mettre le monde en danger.

ne pas trop souffrir sans armature. connaissances

occulté(e)s

du plaisir. révolutionnaire.

yoga du rire. pour lutter

on se nourrit d'un saisissant spectacle

d'êtres chers.

 

c'est l'heure. et le symbole de l'infini

dans l'émotion du départ, avant la fin du monde. il faut

chercher ma liberté, des échos de la rentrée littéraire avec une image-

-souvenir comme monnaie. germes

de discorde émergeant d'une scène de ménage.

parenthèse de détente.

antidote pour le perfectionnisme, le rythme

des émotions, tempo interne aux pépites musicales,

s'est éloigné à la vitesse du tgv.

étape

décisive

d'un cauchemar.

 

il y a strictement rien

à entendre. seul le silence.

miroir intime. ils franchissent le chaotique

passage dans un autobus ou

un car, près de la fenêtre.

rater

son voyage

peut miner les premiers jours.

piloter

les campagnes pour

réaliser les rêves. stage

de randonnée,

énigme

au dos

du tirage.